Arbres , arbustes ou arbrisseaux.'Feuilles'alternes, généralement 1-3-pennées; stipules intrapétiolaires, soudées entre elles et à la base du pétiole, renfermant un bourgeon et un axe portant soit une jeune feuille, soit une jeune feuille et une inflorescence, généralement caduques, laissant 2 cicatrices, l'une annulaire à la base de l'axe, l'autre triangulaire à la base du pétiole.'Inflorescences'oppositifoliées, en cymes multipares et très ramifiées.'Fleurs'☿; sépales 5, valvaires, soudés à la base; pétales 5, valvaires soudés à la base, réfléchis à la floraison; étamines 5, oppositipétales, fixées extérieurement dans de petites niches situées entre les 5 lobes ± émarginés d'un tube fortement adhérent à la base au tube corollin et à la base du gynécée et portant intérieurement vers le milieu de sa hauteur, un manchon dirigé vers le bas; anthères infléchies contre le filet dans le bouton et incluses dans le tube, dressées à la floraison, extrorses, dorsifixes; gynécée supère, à 3-8 loges à 1 ovule anatrope; style cylindrique, glabre; stigmate peu apparent.'Baies'± sphériques, légèrement comprimées de bas en haut, 3-8-lobées.'Graines 3-8, dressées, ovales, triangulaires en section transversale; testa dur; endosperme ruminé; embryon petit, droit ou légèrement courbé.\n\t\t\tUn seul genre : Leea, comprenant ± 70 espèces répandues dans les régions tropicales surtout asiatiques; 3 espèces en Afrique, dont 2 très localisées :'L. cuspidifera'Bak. à Madagascar et'L. tinctoria Lindl. à S. Thomé. Famille facilement reconnaissable par la présence d'un tube sur lequel sont fixées les étamines et dont la nature morphologique est encore aujourd'hui fort discutée (voir Nair et Nambisan, Bot. Notis., 110, p. 160-172, 1957). Arbres , arbustes ou arbrisseaux.'Feuilles'alternes, généralement 1-3-pennées; stipules intrapétiolaires, soudées entre elles et à la base du pétiole, renfermant un bourgeon et un axe portant soit une jeune feuille, soit une jeune feuille et une inflorescence, généralement caduques, laissant 2 cicatrices, l'une annulaire à la base de l'axe, l'autre triangulaire à la base du pétiole.'Inflorescences'oppositifoliées, en cymes multipares et très ramifiées.'Fleurs'☿; sépales 5, valvaires, soudés à la base; pétales 5, valvaires soudés à la base, réfléchis à la floraison; étamines 5, oppositipétales, fixées extérieurement dans de petites niches situées entre les 5 lobes ± émarginés d'un tube fortement adhérent à la base au tube corollin et à la base du gynécée et portant intérieurement vers le milieu de sa hauteur, un manchon dirigé vers le bas; anthères infléchies contre le filet dans le bouton et incluses dans le tube, dressées à la floraison, extrorses, dorsifixes; gynécée supère, à 3-8 loges à 1 ovule anatrope; style cylindrique, glabre; stigmate peu apparent.'Baies'± sphériques, légèrement comprimées de bas en haut, 3-8-lobées.'Graines 3-8, dressées, ovales, triangulaires en section transversale; testa dur; endosperme ruminé; embryon petit, droit ou légèrement courbé.\n\t\t\tUn seul genre : Leea, comprenant ± 70 espèces répandues dans les régions tropicales surtout asiatiques; 3 espèces en Afrique, dont 2 très localisées :'L. cuspidifera'Bak. à Madagascar et'L. tinctoria Lindl. à S. Thomé. Famille facilement reconnaissable par la présence d'un tube sur lequel sont fixées les étamines et dont la nature morphologique est encore aujourd'hui fort discutée (voir Nair et Nambisan, Bot. Notis., 110, p. 160-172, 1957).Morphology
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Flore d'Afrique Centrale
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